FILMS CATASTROPHE

La sortie prochaine de « Hurricane » (2018), un film catastrophe de Rob Cohen, nous a inspiré un petit cycle de films catastrophe, que nous allons visionner, histoire de nous mettre dans le bain, avant de retrouver Maggie Grace et Toby Kebbel sur grand écran mercredi prochain.

Le film catastrophe est un genre de métrage où un désastre et/ou une catastrophe imminent ou en cours est le sujet principal de l’intrigue. Ces désastres comprennent les catastrophes naturelles telles que les inondations, les tremblements de terre, les tsunamis ou les collisions d’astéroïdes, les accidents tels que les naufrages ou les accidents d’avion, ainsi que les calamités comme les pandémies mondiales. Les films présentent généralement un certain degré d’accumulation, la catastrophe elle-même, et parfois les conséquences, généralement du point de vue d’un ou plusieurs personnages spécifiques, incluant parfois le devenir de leurs familles ou décrivant les tactiques et techniques de survie.

Ces films s’articulent souvent autour d’une grande quantité d’acteurs et de multiples intrigues, se concentrant sur les tentatives des différents personnages pour éviter, échapper ou faire face à la catastrophe et à ses conséquences. Le genre a pris une importance particulière dans les années 1970 avec la sortie de films très médiatisés tels que « Airport » (1970) de George Seaton, suivi de près par « The Poseidon Adventure » (1972) de Ronald Neame, « Tremblement de Terre » (1974) de Mark Robson et « The Towering Inferno » (1974) de John Guillermin.

En ce qui concerne ce « cycle », Laurence et moi, nous sommes concentrés sur les films de catastrophe naturelle. Dans le cas de « Twister » (1996), les protagonistes se confrontent à des tornades très violentes. Pour « Volcano » (1997) c’est la naissance d’un volcan en plein Los Angeles qui sème la panique, alors que dans « Hard Rain » (1998) c’est la pluie et un barrage, qui plonge les protagonistes dans le chaos. « Deep Impact » (1998) nous entraîne dans une possible fin du monde en raison de la collision entre la Terre et un astéroïde. Dans « Vertical Limit » (2000) ce sont les avalanches qui entraînent des catastrophes. Dans « World Trade Center » (2006) ce sont des attaques terroristes qui conduisent à la catastrophe avec l’effondrement des deux célèbres tours newyorkaises.  « The Last Day » (2009) nous oppose à un tsunami hors norme, alors « The Impossible » (2012) nous présente une histoire se déroulant durant le réel et tristement célèbre tsunami meurtrier de 2004 en Thaïlande.

Voici donc notre petite sélection, complètement subjective et personnelle, dont certains films ont déjà été chroniqués sur ce blog :

• « The Poseidon Adventure » (1972)
• « The Towering Inferno » (1974)
• « Twister » (1996) de Jan de Bont.
• « Volcano » (1997) de Mick Jackson.
• « Pluie d’Enfer » (1998) de Mikael Salomon.
• « Deep Impact » (1998) de Mimi Leder.
• « Vertical Limit » (2000) de Martin Campbell.
• « The Perfect Storm » (2000) de Wolfgang Petersen.
• « Fusion » (2003) de Jon Amiel.
• « The Day After Tomorrow » (2004) de Roland Emmerich.
• « World Trade Center » (2006) d’Oliver Stone.
• « 2012 » (2009) de Roland Emmerich.
• « The Last Day » (2009) de Yoon Je-kyoon.
• « The Impossible » (2012) de Juan Antonio Bayona.
• « Subwave » (2013)
• « Into the Storm » (2014) de Steven Quale.
• « Pompei » (2014) de Paul W. S. Anderson.
• « The Wave » (2015) de Roar Uthaug.
• « San Andreas » (2015) de Brad Peyton.
• « Sully » (2016) de Clint Eastwood.
• « Deepwater Horizon » (2016) de Peter Berg.
• « The Finest Hours » (2016) de Craig Gillespie.
• « Pandora » (2016) de Park Jung-woo.
• « Geostorm » (2017) de Dean Devlin.
• « Only the Brave » (2017) de Joseph Kosinski.
• « Hurricane » (2018) de Rob Cohen.
• « Skjelvet » (2018) de John Andreas Andersen.
• « The Captain » (2019) d’Andrew Lau.

Comme toujours, n’hésitez pas à nous apporter vos observations, commentaires, suggestions.
Page que nous mettrons à jour au fur et à mesure de nos visionnages.